Le conseil municipal et le secrétaire de mairie

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L'activité du conseil municipal de 1995 à 2001 c'est : (données extraites des 23 bulletins trimestriels)

Environ 620 réunions de travail (sans compter les activités culturelles, sportives, ...).
Je tiens à dire merci à tous les membres du conseil municipal qui ont participé à ces réunions et qui ont pu se libérer pendant les heures ouvrables.
On comprend mieux la disponibilité nécessaire de l'élu.

Les conseils municipaux précédents étaient composés de retraités ou personnes au foyer dont le 1er adjoint. Les 15 conseillers municipaux de 1995 à 2001 étaient tous des actifs.

Le fonctionnement du secrétariat de mairie est très important pour mettre en oeuvre toutes les décisions prises au cours des réunions précédentes avec un maximum de traçabilité. L'outil informatique est indispensable.

Depuis fin 1988, 4 secrétaires ont assuré les tâches de secrétariat :
Mesdames Valérie Duret, Martine-Francoise Tapin, Aurélie Boeringer et Linda Benoit.

Il est très difficile de trouver des intérimaires qui connaissent le travail de secrétariat et qui acceptent un emploi de 6 mois (l'arrêt maladie de M. Daniel Benoist est jusqu'à présent prolongé de 6 mois en 6 mois).

Je remercie toutes les secrétaires pour leur travail et leur sérieux.

Réintégration de M. Daniel Benoist à mi-temps thérapeutique du 19 mars au 18 juin 2001 puis en temps complet à partir du 19 juin 2001. Madame Aurélie Boeringer quitte le secrétariat de mairie fin février 2001.
Le contrat de Madame Linda Benoit se termine fin mars 2001.

Le fonctionnement du secrétariat précédent était basé sur une gestion de 6 communes avec un regroupement en mairie de Barbonne.
Le conseil municipal a souhaité que le secrétariat de la commune de Barbonne soit géré de façon indépendante en mairie de Barbonne.


La gestion des affaires de la commune pour le prochain mandat reste une tâche difficile. Il y a un travail important à effectuer. Nous sommes une petite commune de moins de 500 habitants avec des moyens limités et parfois difficiles à mettre en oeuvre suite à la décentralisation.
Le bon sens aurait voulu que le travail soit effectué collégialement, chacun ayant ses limites, il aurait été intéressant que les ambitions personnelles soient mises de côté au profit des intérêts de la collectivité.


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